Il y a des matins où l’on ouvre les yeux avec déjà un pas de retard. Le cœur qui bat un peu trop vite, l’agenda qui défile mentalement avant même de toucher le sol du bout des orteils. On s’active, on répond, on coche, on avance… Mais à quelle vitesse ? Et surtout, vers quoi ?
Et si, juste un instant, je m’arrêtais ?
Et si je me donnais la permission de me déposer, là, maintenant ? Sans chercher à performer. Sans chercher à comprendre. Juste être.
Ce billet est le premier d’une série douce, une invitation à ralentir. À créer de l’espace. À réapprendre à s’écouter, vraiment. Parce que sous le bruit, il y a la voix. La vôtre.